Emission de France3, LOCB du 23 octobre : le festival Drakkar Toon à Dives sur Mer

Du 21 au 29 octobre 2013, le cinéma d’animation a été à l’honneur à Dives-sur-Mer avec la 7e édition du festival d’animation.

L’équipe de LOCB, Là où ça bouge, a rencontré le co-réalisateur de « Tante Hilda » Benoit Chieux.

Il vient présenter « Tante Hilda » qu’il a co-réalisé avec Jacques Rémy-Girerd à qui l’on doit « Mia et le Migou » ou « La prophétie des grenouilles ».

Article du samedi 12 octobre 2013 publié par Ouest France :

Sept ans que les petits, les jeunes et les moins jeunes ont droit à leur lot de films animés pour les vacances de la Toussaint.

Drakkar’toon affiche sa volonté d’ouvrir sa sélection à tous les genres : aux blockbusters américains, comme cette année Planes, Turbo ou encore Monstres Academy, aux œuvres poétiques comme le français Tante Hilde ou le japonais Lettre à Momo, destiné à un public plus mûr comme Aya de Yopougon ou La Tête en l’air, ou alors vraiment aux films pour les tout-petits avec Poupi ou Qui voilà.

L’événement, cette année, sera la présence de Benoit Chieux, réalisateur de Tante Hilda, coscénariste et créateur graphique de L’Enfant au grelot, Cartoon d’or 1998 du meilleur film d’animation européen « C’est une grosse exclusivité, pour nous, puisque le film ne sortira sur les écrans qu’en février prochain rapporte Sébastien Dumont, responsable du cinéma. Benoît Chieux est un grand artiste, c’est vraiment un honneur qu’il vienne nous voir ».

Jean-Carl Feldis viendra animer un atelier autour de la bande-son des films, afin de créer, avec le public, bruitages, doublages et musique. Lettre à Momo devrait également faire le bonheur des amateurs d’animation japonaise, avec ce film tout juste sorti et qui a reçu un accueil dithyrambique par la presse. La séance pour les petits qui aura lieu le matin (sauf samedi et dimanche) sera suivie d’un atelier en relation avec le monde de l’animation.

Article du samedi 26 octobre 2013 publié par Ouest France :

Trois questions à…

Benoît Chieux, réalisateur de Tante Hilda.

Pourquoi le dessin traditionnel plutôt que l’image de synthèse ?

Parce que j’ai d’abord appris à dessiner, et donc ça s’est présenté naturellement. Cela participe à une tradition.

Dans le film, vous prônez un retour à certaines traditions ?

Lorsqu’on vit en ville, on a du mal à ressentir les effets du réchauffement climatique, mais laissez-moi vous raconter une histoire, lorsque ma famille et moi avons déménagé à la campagne, c’était après un été de canicule et les cerisiers étaient en fleur au mois d’octobre. Ça fait un drôle d’effet, les cerisiers en fleurs au mois d’octobre.

Est-ce qu’il va y avoir un « Tante Hilda 2 » ?

Non, ça m’a déjà pris beaucoup de temps pour faire celui-là, donc je pense que je vais passer à un autre sujet.

Cinéma Le Drakkar,

6 rue du Général De Gaulle 14160 Dives-sur-Mer

tél. 09 77 73 54 21 (répondeur)

e-mail : drakkar.dives@wanadoo.fr

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